«S’il se représente, c’est son affaire. En tant qu’épouse, comme ça, dans l’intimité, un mandat me suffirait», a affirmé Carla Bruni-Sarkozy, qui était interrogée sur une éventuelle seconde candidature de son mari à l’élection présidentielle, en 2012.
«On n’en discute jamais, parce que je pense que je ne dois pas me mêler de ça, ça lui appartient tellement. Tout ça est très compliqué, c’est son métier. C’est comme s’il venait mettre le nez dans les accords majeurs ou mineurs d’une de mes chansons. C’est mon affaire, si je mets un majeur ou un mineur», a-t-elle poursuivi.
«C’est quelqu’un qui s’engage des pieds à la tête et même amoureusement»
«C’est quelqu’un qui s’engage des pieds à la tête et même amoureusement. Ca, pour une femme, c’est tout à fait inédit, et pour un pays aussi, c’est tout à fait inédit», a-t-elle insisté.
«Je pense que, s’il était menuisier, il serait un menuisier entier»
«Donc, moi, je suis contente pour les Français qu’ils aient mon mari» comme président, a-t-elle également affirmé, se défendant de faire de la propagande.
«Ce n’est pas une vision béni oui oui. C’est une vision réaliste (…) Ça se voit dans la seconde où il entre dans une pièce. C’est quelqu’un qui est complet, qui est entier. Je pense que, s’il était menuisier, il serait un menuisier entier. Je pense que c’est comme ça qu’on réussit sa vie professionnelle et sa vie personnelle aussi. C’est-à-dire en donnant tout ce qu’on a», a-t-elle affirmé.